Grosses tensions dans l’After Foot ! Daniel Riolo s’embrouille avec…

Rendez-vous incontournable dans le paysage audiovisuel français, l’After Foot est une émission réputée pour ses avis tranchés et ses débats acharnés. Le programme phare de RMC n’a pas dérogé à ses habitudes ce lundi, lorsque Daniel Riolo et Florent Gautreau se sont accrochés sur le thème de la saison du Paris Saint-Germain.

Très critique à l’égard de Luis Enrique, qu’il « n’apprécie pas humainement« , Daniel Riolo s’est fait recadrer par son confrère. « Les différents changements qu’il fait, Géo-trouvetou comme tu dis, ça ne sert à rien ?, a lancé Florent Gautreau. Il t’a démontré sur le match retour contre le Barça, et même à la mi-temps du match aller et sur ce match contre Lyon, que justement ce turn-over, cette habitude qu’il a de faire jouer les joueurs à plusieurs places et de les faire entrer et les impliquer dans la rotation, ça allait être efficace et ça l’a été. Tu l’as vu, et tu t’es trompé, parce que tu as dit que ça ne servait à rien, et ça sert à quelque chose« .

« Tu viens tous les jours ici ? » : le ton monte entre Gautreau et Riolo

Une remarque qui a fait sortir Daniel Riolo de ses gonds. « Excuse-moi, t’es devenu commissaire de police ?« , a alors lancé le journaliste. « Tu viens tous les jours ici ? Tu viens une fois par semaine et tu fais le commissaire de police ! Ne joue pas au flic avec moi« , a poursuivi Riolo.

Ce dernier a par ailleurs maintenu sa position au sujet du jeune Bradley Barcola, qu’il ne considère pas comme une référence. « Barcola n’est pas un crack à mes yeux ! Je le pense, basta. Pour moi les cracks, en haut à droite, en haut à gauche sur ces dernières années, j’ai fais une petite liste : Foden en est en, Mbappé en est un, Mahrez en a été un, Sadio Mané en a été un, Salah, Rashford, Bernardo Silva quand il jouait à ce poste en a été un, Vinicius en était, Yamal en est un actuellement. A mes yeux, c’est très bien ce qu’il (Barcola ; Ndlr) est en train de faire, hier c’est bien (face à l’OL ; Ndlr), maintenant il lui faut un contexte favorable, et je le répète, à mes yeux, ce n’est pas un crack » .